Capo Verde - île de Sal

Île de Sal, début d’une autre découverte ......je vous le dis tout de suite ....j’adoooooore 

Oui on a quitté le confort de l’Europe, je ne dirais pas qu’ici c’est de la survie mais presque ! 

C’est pauvre,  et ça en fait presque mal au coeur mais c’est simple, gai, et très attachant !!La Palmeira, où l’on s’est arrêté, est un petit village qui ne vit surtout que par les voiliers qui s’y arrêtent, 

les épiceries, bars ou resto (y’ en a pas cinquante douze !) sont tellement differents de l’image qu’on peut s’en faire! Pour trouver du frais (tomates, salades ..des trucs tout con....) et bien c’est pas évident, même le pain ! 

Les habitants font tout pour que tu restes ! 

La première fois de ma vie où je vais dans un restau et où l’on te fait payer ton assiette au poids (quelque soit ce que tu y a mis !), évidemment le poisson est roi  ! Pratiquement pas de viande (je sens d’ailleurs qu’une bonne cote à l’os va faire partie de mes prochains rêves) 

C’est aussi début des clearances (tu vas à la police, tu déclares ton entrée sur l’île et tu reviens quand tu pars pour déclarer ta sortie, moyennant quelques euros) 

On quitte la Palmeira pour le sud avec l’envie d’aller sur L’île de Boa Vista, mais des surfers nous informent que des vagues du siècle sont attendues sur les Canaries et Cap vert .......se prendre des vagues de 4m au mouillage c’est pas cool voire très dangereux ! 

Boa vista étant très exposé aux vagues, le Captain décide de diriger Feliz vers l’île de Sao Nicolau (côte sud) pour s’abriter de ces vagues venant du nord ouest 

il a eu raison (cf dégâts des vagues sur Teneriffe) 

mouillage avec les petits bateaux de pêche (La Palmeira)

Le rayon frais du supermarché de la Capitale de Sal !

Nos parties de pétanque de fin d’aprem ont beaucoup de succès près des enfants du village 

Paysage africain..

y’a pas 1 lion là-bas ?  (Hihihihi)